Parole de jeune :
« Quand on vient à Lourdes, on rit, on découvre un service nouveau, et on se retrouve le soir au Jeanne d’Arc ou au Roi Albert (bars lourdais bien connus d tous …) autour d’une bière. Et nous restons longtemps ensemble, souvent avec un prêtre. C’est que nous vivons des choses inhabituelles, lourdes, graves avec les personnes que nous accompagnons. Nos discussions ne sont pas les mêmes que chez nous. Elles sont bien plus profondes, sans fard, plus vraies ; c’est que nous avons besoin d’échanger après tout ce que nous vivons. Et nous ne faisons pas d’âneries. Nous n’y songeons même pas. Est-ce que cet état d’esprit nous change pour la vie ? »